Romain BEOT
Les arts précolombiens englobent une diversité extraordinaire de cultures qui ont prospéré en Amérique avant l'arrivée des Européens. Des majestueuses civilisations des Mayas, Aztèques et Incas aux peuples moins connus comme les Mochicas, les Olmèques et les Tainos, chaque culture a laissé un héritage artistique riche de sens, de beauté et de mystère. Ces œuvres, allant de la céramique délicatement sculptée aux textiles élaborés, en passant par des sculptures en pierre et des bijoux en or finement travaillés, témoignent de sociétés avancées, imprégnées de spiritualité et de symbolisme.
L’art précolombien : un art sacré et une part d’histoire
Pour les collectionneurs modernes, l'art précolombien offre une opportunité rare de se connecter à un passé vibrant et de posséder un fragment d'histoire ancienne. Ces œuvres, qui transcendent le temps, continuent de fasciner par leur mystère et leur beauté intemporelle.
Un département de vente aux enchères dédié à l’art précolombien.
Depuis maintenant quinze ans la maison de vente MILLON organise des ventes d’art précolombien, assisté de l’expert Serge Reynes. Ancien expert auprès des Douanes Française, agrée auprès des compagnies, il œuvre lors de ventes aux enchères, en collaboration avec des commissaires-priseurs depuis 1997.
Notre département a eu l’immense privilège de présenter des objets importants provenant des plus grandes collections françaises, européennes et américaines. C’est ainsi que notre département a présenté les collections :
- Minichiak et Jean Aurence, Paris ;
- Gérald Berjonneau, Paris ;
- Bendicht Rudolph Wagner, Genève ;
- Arturo Aguinaga, Barcelone ;
- Frédéric-André Angel, Nice ;
- Alvaro Guillot Munoz, Rome ;
- Colonel Vésigné, Paris ;
- Joseph Holtzheimer, Luxembourg ;
- Peter G. Wray, Etats-Unis ;
- Nathalie Wood, Etats-Unis ;
- Michel Polak, France ;
- Ron Messik, Santa Fe ; …
A travers ces ventes aux enchères, la maison MILLON contribue à faire connaître et rayonner cet art du nouveau monde à un large public. Elle s’engage aussi avec son expert à faire respecter la législation en vigueur et le Code international de déontologie pour les négociants en biens culturels de l’UNESCO de 1999 (CLT/CH/INS.06/25 REV.). La transparence sur la provenance et l’authenticité des objets est totale.
Un expert et un département au service de vos biens.
Curieux ou vendeur, notre expert vous propose une estimation gratuite de votre bien.
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Amateur, collectionneur, laissez nous vous faire voyager
La maison MILLON : au cœur de la protection de l’art précolombien.
Découvrez le ci dessous :
Les professionnels du commerce des biens culturels reconnaissent le rôle clé que ce commerce joue traditionnellement dans la diffusion de la culture et la distribution aux musées et aux collectionneurs privés de biens culturels étrangers, sources d'éducation et d'inspiration de tous les peuples.
Ils prennent en compte les inquiétudes exprimées dans le monde entier à propos du trafic de biens culturels volés, illicitement aliénés, provenant de fouilles clandestines et exportés illicitement et acceptent d'être liés par les principes de pratique professionnelle ci-après, destinés à permettre de distinguer les biens culturels ressortissant au commerce illicite de ceux qui ressortissent au commerce licite ; ils s'efforceront d'éliminer les premiers de leurs activités professionnelles.
ARTICLE 1
Les négociants professionnels en biens culturels s'abstiennent d'importer ou d'exporter de tels biens ou d'en transférer la propriété lorsqu'ils ont des motifs raisonnables de penser que le bien concerné a été volé, qu'il a été aliéné illicitement, qu'il provient de fouilles clandestines ou qu'il a été exporté illicitement.
ARTICLE 2
Le négociant qui agit en qualité de mandataire du vendeur n'est pas réputé garantir le titre de propriété, pourvu qu'il fasse connaître à l'acquéreur le nom et l'adresse complets du vendeur. Le négociant qui est lui-même le vendeur est réputé garantir à l'acquéreur le titre de propriété.
ARTICLE 3
Le négociant qui a des motifs raisonnables de penser qu'un objet provient de fouilles clandestines ou qu'il a été acquis de façon illicite ou malhonnête d'un site de fouilles autorisées ou d'un monument s'abstient de concourir à toute nouvelle transaction portant sur cet objet, sauf accord du pays où se trouve le site ou le monument. Le négociant qui est en possession de l'objet, lorsque ce pays cherche à obtenir sa restitution dans un délai raisonnable, prend toutes les mesures autorisées par la loi pour coopérer à la restitution de cet objet au pays d'origine.
ARTICLE 4
Le négociant qui a des motifs raisonnables de penser qu'un bien culturel a été exporté illicitement s'abstient de concourir à toute nouvelle transaction portant sur cet objet, sauf accord du pays de provenance. Le négociant qui est en possession de l'objet, lorsque le pays de provenance cherche à obtenir sa restitution dans un délai raisonnable, prend toutes les mesures autorisées par la loi pour coopérer à la restitution de cet objet au pays de provenance.
ARTICLE 5
Les négociants en biens culturels s'abstiennent d'exposer, de décrire, d'attribuer, d'évaluer ou de détenir un objet culturel dans l'intention de favoriser, ou de ne pas empêcher, son transfert ou son exportation illicite. Ils s'abstiennent d'adresser le vendeur ou une autre personne proposant l'objet à ceux qui peuvent fournir ces services.
ARTICLE 6
Les négociants en biens culturels s'abstiennent de procéder à des démembrements d'objets et de vendre séparément des éléments d'un bien culturel constituant un ensemble complet.
ARTICLE 7
Les négociants en biens culturels s'engagent dans toute la mesure de leurs capacités à ne pas séparer les éléments du patrimoine culturel initialement destinés à être maintenus ensemble.
ARTICLE 8
Les infractions au présent code de déontologie font l'objet d'enquêtes rigoureuses de (corps nommé par les négociants adoptant ce code). Toute personne lésée du fait du non-respect par un négociant des principes du présent code de déontologie peut déposer une plainte auprès de cet organisme qui procède à une enquête. Les résultats de l'enquête et les principes appliqués sont rendus publics.
CLT/CH/INS.06/25 REV.
Adopté par le Comité intergouvernemental pour la promotion du retour de biens culturels à leur pays d'origine ou de leur restitution en cas d'appropriation illégale au cours de sa dixième session, janvier 1999 et approuvé par la 30e Conférence générale de l'UNESCO, novembre 1999.
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France - Téléphone +33147279329
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SERGE REYNES - ORIGINE EXPERT