
Mariam VARSIMASHVILI
Depuis 2018, le département Souvenirs Historiques fait vibrer les ventes aux enchères au sein de la Maison MILLON. Ce département de ventes aux enchères se consacre aux objets qui font l’histoire de France et des personnalités qui l’ont forgée. Vous possédez un manuscrit signé d’une main royale ? Vous rêvez d’une miniature ornée d’un portrait de Napoléon ? Vous voici au sein du bon département de vente.
L’expert Maxime Charron et la responsable du département Mariam Varsimashvili permettent tous les jours de découvrir des pans d’histoire, satisfaire des collectionneurs pointus mais aussi enrichir les collections des institutions nationales.
Passionné d’histoire et des objets qui lui sont attachée, Maxime Charron regroupe dans ce département tous les objets ayant trait aux grands personnages de France et d’ailleurs, ou aux grands évènements historiques.
Se côtoient dans les ventes du département Souvenirs historiques des tasses en porcelaine de Sèvres ayant appartenu aux familles nobles, royales ou impériales, des portraits en miniature de grands personnages, des manuscrits des grands esprits ou encore des médailles ayant appartenues aux grands généraux de l’histoire.
Objets de souvenirs ou œuvre d’art inestimable, il n’est pas rare que les musées de France préemptent ces morceaux d’Histoire lors des ventes aux enchères :
Le département de vente aux enchères de Souvenirs Historiques organise au minimum :
Ces ventes mettent en lumière la diversité des objets d’arts ainsi que leur prix. Vous y retrouverez des tableaux et documents historiques notamment.
Les œuvres présentées et mises en vente traversent les siècles, du XVIIe au XXe siècle et sont liés aux Bourbons, à l’Empire, à Napoléon, à la famille d’Orléans, à la Noblesse française ou étrangères, aux familles régnantes d’Europe.
Tous les objets peuvent s’y trouver : objets de vitrine, porcelaine, portraits peints, manuscrits, décorations militaires, armes, objets commémoratifs… Face à une telle diversité, les connaissances de nos experts et commissaires-priseurs est un atout incomparable.
Deux fois par an, le département organise les ventes Masters « La Face des Rois ». Elles regroupent une sélection d’une vingtaine de lots autour de portraits royaux :
« Depuis le roi de France Jean II le Bon, les chefs d’État ont cherché par tous les moyens à fixer leurs traits sur la toile. Par leurs commandes auprès d’artistes renommés, ils ont laissé à la postérité leur meilleur profil, puis leur visage – souvent idéalisé. Les peintres, à la différence de leurs confrères sculpteurs ou graveurs de médailles, n’ont cependant pu prendre exemple sur leurs antiques prédécesseurs. Et pour cause : la toile n’est devenue un support de représentation, à l’échelle de la création (et si l’on excepte évidemment les peintures rupestres ou a fresco), que tardivement. Aussi les références sont-elles bien différentes de celles employées pour les bustes en marbre ou les pièces de monnaie. La dynastie des Bourbons fixe les premières règles de la peinture officielle, en une typologie jamais démentie après eux. Louis XIV lui-même, par son grand portrait en habit de sacre réalisé par Hyacinthe Rigaud, réunit autour de sa personne tous les regalia et symboles du pouvoir. L’épisode révolutionnaire ne parvient pas à dépasser l’exercice. Napoléon, une fois au pouvoir, se présente en digne successeur des souverains précédents sous les pinceaux de Gérard, Lefèvre, Girodet, Ingres, Appiani et bien sûr David. Ce dernier propose en 1812 un portrait de l’Empereur moins solennel, dans son bureau des Tuileries, portant l’uniforme de colonel de la Garde et entouré de livres. Rien de sacré désormais, mais un homme moderne, dont l’action est placée au service de tous. Après lui, de Napoléon III (par Winterhalter) jusqu’à nos plus récents présidents photographiés, tous se présentent en costume civil, devant une bibliothèque ou dans un cadre moins empesé. En ce sens, comme dans d’autres situations, la France républicaine, héritière des rois et des empereurs, a su allier tradition et innovation. »
David Chanteranne Historien et journaliste, Directeur des Sites patrimoniaux de Rueil-Malmaison
Des portraits classiques en miniature à une mèche de cheveux, les objets Souvenirs Historiques peuvent valoir quelques dizaines d’euros à plusieurs milliers.
La particularité, pour l’estimation de ces objets, est leur valeur émotionnelle. Un objet possédé par Marie-Antoinette au Temple, par Napoléon en exil… aura bien plus de poids que ce même objet sans histoire.
Chaque objet peut être porteur d’une valeur historique permettant d’augmenter son prix de vente. Par exemple, une malle de voyage de la maison Goyard a été adjugée pour 12 000 euros. Sa particularité ? cette malle de cuir porte la marque « Duchess de Windsor » et servait au couple royal pour ses voyages à New-York.
Les ventes Souvenirs Historiques attirent un public d’amateurs et de collectionneurs, mais elles sont aussi l’occasion de redécouvrir un portrait d’ancêtre qui retournera au sein de sa famille.
Les ventes Souvenirs Historiques se targuent de beaux résultats de vente :
Le département Souvenirs Historiques part à la découverte des objets. En perpétuel recherche d’objets et tableaux, nos experts aiment satisfaire une clientèle de collectionneurs avertis. Pour cela, ils vous renseignent sur l’identification de vos objets et leur valeur. Simple souvenir ? Objet historique ? De nombreux trésors sont découverts chaque année.
Vous souhaitez une estimation gratuite et confidentielle ? Notre équipe est là pour vous, sans engagement de votre part.
Notre équipe vous accompagne et vous conseille que ce soit pour la constitution d’une collection ou pour vendre au meilleur prix.
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Mariam VARSIMASHVILI
Maxime CHARRON
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