Jean-Baptiste MASSILLON.

Jean-Baptiste MASSILLON.

L.A.S. « J.B. Eveque de Clermont », 25 novembre 1735, à l’Abbé de SERS, doyen de Mauriac ; 2 pages et quart in-4, adresse avec sceau de cire rouge aux armes. À propos d’un conflit de succession concernant la cure de Mauriac, que l’abbé de Sers a quitté pour laisser place à un nouveau curé. En demandant à ce dernier de reconnaître son correspondant « en qualité de curé primitif, je crus […] avoir terminé tous vos différens ». La seule exigence du nouveau curé « fut que vous viendriez tout seul sans être accompagné de vos religieux officier dans son église », mais le problème « du jour du patron » et des 4 fêtes annuelles, que l’abbé de Sers, en tant que curé primitif, veut célébrer dans cette église, et sur lequel le curé refuse de transiger, pose toujours problème… Ce dernier a fait appel à des pères bénédictins et ils ont pris « des arbitres à Aurillac […]. Le parti le plus sage […] est de vous unir avec les religieux et de vous soumettre pour vos prétentions à la décision des mêmes arbitres qu’ils ont choisi »…